Préserver la qualité de l’air après le confinement : un enjeu de santé publique

• Le confinement a eu un impact positif sur la qualité de l’air grâce à la diminution de certaines sources de pollution ;
• Déconfinement et préservation de la qualité de l’air ne sont pas incompatibles grâce, entre autres, aux mobilités actives facilitant la distanciation physique et bonnes pour la santé et la qualité de l’air ;
• Les automobilistes dans l’habitacle de leur voiture sont plus exposés à la pollution de l’air que les cyclistes et les piétons ;
• Plusieurs études montrent une aggravation des pathologies du COVID-19 liée au niveau de pollution de l’air ;
• La problématique de la qualité de l’air doit rester une préoccupation permanente pour « le monde d’après ».

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